Alors qu'il franchissait les portes de la célèbre ville, Thomas jaugeais les lieux. L'air se faisait froid et le voyageur fut parcouru d'un léger frisson qui semblait affecter l'entièreté de son corps à l'exeption près de son visage qui resta de marbre, figé das une expression neutre plus glaciale encore que la température enironnante.Une bourasque de vent fit soulever sa courte cape blanche qui se mit alors à claquer plusieur fois dans l'air avant de retomber doucement sur ses épaules.
[à lui-même; à peine audible]
- Si les Imbéciles n'étaient pas si nombreux quelqu'un aurait eu l'idée de placer une carte de la ville à l'entrée, mais non. Maintenant je dois me démerder seul pour trouver un endroit...
Thomas ne finit pas sa phrase et pris le temps de déposer péniblement le lourd sac d'objet qu'il transportait avec lui, appuyésur son flan droit. Une fois posé au sol, le voyageur prit une grande inspiration en considérant son bagage qu'il avait ras le bol de porter. Puis il posa un second regard sur les alentours: les batiments, les rues, les quelques rare passants qu'il pouvait observer au loin, à ce temps de la nuit. C'était donc ici qu'il trouverait ce qu'il recherchait si ardament. Il était tomber de si haut après son dernier effort... Maintenant il était temps de se reprendre et dans une bien plus grande et instable ville, qui plus est. Normalement après un échec on ne passe pas au niveau suivant, on n'augmente pas les risque, c'est illogique, mais Thomas se retrouvait au pied du mur et c'est ici qu'il allait rebatir se qui s'était écrouler pour ensuite reprendre ses recherches; ou alors c'est ici que tout ce terminerait,... en fiasco.
[Toujours à lui-même; faiblement]
- Bon je pourrai peut être trouver une mandiant qui m'indiquera un endroit où aller pour le peu de monnaie qu'il me reste.
Le voyageur fit un mouvement pour reprendre le lourd sac qu'il venait à peine de déposer...
Sujet: Et s'ouvrent les portes...